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  • Le vote des étrangers aux élections municipales

    Je trouve bien étrange les raisons mises en avant par les oppossants à ce projet qui figurait parmi les promesses du candidat Hollande quand on sait que déjà les ressortissants de 27 pays peuvent user de ce droit en France, simplement parce-qu'ils font partie de la Communauté européenne...

  • Il faut savoir laisser les mots vivre leur vie et se débrouiller

    ci-dessous des mots jetés ce matin en vrac comme du bric à brac:

    H u m e u r

    de Max Memmi

     

    Jets de mots, et bien davantage?

    Maudire et ne dire mot ?
    Maux d'hiver et divers mots ?

    Quand l'aile prend son envol

    et qu'un petit sait prend sa place,

    alors la douleur devient douceur...

    sans queue ni tête ? Voire...

    Quand l'âme perd son aime

    et qu'un petit haine survient,

    l'âne noir n'est pas loin...

    Absurde et ridicule...

    A bas le Peu Zenter,

    vive le Paul Tronc...

    Hi, hi, hi...

    Prèm, bis, ter, lune, sol-air...

    Abra, cata-bras, abra, le corps...

    Jets d'ancres sur une mère possesive..

    Père ou impair ?

     

    Voilà , il faut  quelquefois laisser  les mots vivre leur vie et se débrouiller et  s'emmeler entre eux sans trop s'en méler soi-même.

  • L'élégance de l'hiver...


    Dans quatre jours et sept heures, l'automne cédera la place à l'hiver pour trois nouveaux mois, les règnes des saisons sont en effet très courts, puisque l'année ne concède qu'un seul petit  trimestre à chacune des saisons...En attendant, après avoir sorti ses griffes, le temps d'une petite répétition, l'hiver a l'élégance de se montrer discret...Et l'automne joue du trombone entrainant la valse des feuilles ravies de leur autonomie, la terre se gorge et s’enivre de pluie alors que le ciel noir menace encore de se rompre fragilisant les immenses chênes dont les racines dénudées menacent leur fondation.

    il s'agit là d'un petit texte qui vient de naître de la contemplation de la nature qui s'offre à moi , devant la baie vitrée de mon bureau et qui semble me prendre à témoin de la vie intérieure qui l'agite, tel un gigantesque être humain digne de Vishnou, ce dieu de la stabilité du monde qui entretient la vie et la création.