Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Livre - Page 2

  • Mon nouveau roman : le message envoyé à mes relations pour présenter ce livre et plus généralement mon travail

    Bonjour à toutes et à tous,

    Malgré les moments très difficiles que nous vivons, - virus de nouveau très actif et actes de terrorisme barbares – la vie doit néanmoins continuer. Il nous faut rester optimiste, confiant en l’avenir, et en attendant, pour occuper son temps, quoi de mieux que la lecture, pour sortir, et nous évader de ce confinement désespérant que l’on nous impose.

    Donc, lisez, lisez, lisez. La littérature à notre disposition reste abondante, et pour tous les goûts, c’est la meilleure occupation qui soit. Et même si notre gouvernement a décidé – certes pour tenter de nous protéger de la circulation de ce redoutable virus, - que le livre n’était pas un produit de première nécessité et donc que sa vente pouvait être différée, il existe toujours des possibilités pour se procurer des livres. Les services postaux continuent de fonctionner normalement. J’ai vu sur des réseaux sociaux que certains ont imaginé d’échanger des livres ? Pourquoi pas ? En tout cas, il semble toujours possible de téléphoner à son libraire habituel, qui trouvera une solution, j’en suis sûr.

    Et enfin, n’oubliez pas que votre propre bibliothèque recèle des trésors souvent oubliés.

    Pour l’heure, en ce qui me concerne, je vous adresse un lien permettant d’accéder à l’interview que j’ai accordée à la suite de la parution de mon septième roman : Mathilde, une folle passion à Oléron, publié par les Éditions Orizons, 25 rue des Écoles, 75005 Paris. Compte tenu de la crise sanitaire, cet entretien a été réalisé par visioconférence. Il est donc de moins bonne qualité que celui, par exemple, réalisé à l’occasion de la publication de mon Essai La France en partage, par une caméra haute définition dans les locaux de mon éditeur parisien.

    Cette nouvelle vidéo, comme les précédentes, est visible sur le site de YouTube, et pourra être re-visualisée pendant des années sans date de péremption. (Ce nouveau lien s’ajoute donc aux autres liens qui restent tous actifs et opérationnels, y compris les interviews audios accordés à des stations radios).) C’est dire leur importance ; c’est pourquoi, au cours de cette dernière interview, - extrêmement riche, eu égard aux nombreuses questions pertinentes qui m’ont été posées, - je ne me suis pas contenté de parler de ce nouveau roman, j’ai été bien plus loin ; en évoquant mon travail de romancier, j’en ai profité pour me raconter ; en faisant également un rapide survol de ma vie, je me suis livré plus que d’habitude.

    Je ne regrette aucun de mes propos ; dommage seulement que je parais si crispé, si congestionné, loin de ce que je suis normalement, mais l’exercice était peut-être difficile, et donc l’émotion palpable.

    Encore un mot : je vous précise que mon nouveau roman est disponible dans toutes les librairies ainsi que dans les espaces culturels des grandes surfaces, (dans la mesure où ces établissements pourront fonctionner normalement, eu égard à la crise sanitaire) ou, d’ores et déjà, par commande en ligne chez mon éditeur ou chez Amazone ou la Fnac.

    Je reste aussi, comme d’habitude, à votre disposition, pour vous expédier ce livre, après l’avoir dédicacé.

    Bonne lecture, bon courage et tenez bon la barre ! Comme disait ma mère, Chéïlle méïlle doum (Rien ne dure).

    Les liens entre lecteurs et écrivains ne doivent jamais être rompus, quoi qu’il en coûte, comme dit le Prince qui nous gouverne.

    Bien cordialement,

    Max Memmi

    PS : mille pardons au cas où le service de presse de mon éditeur vous aurait déjà adressé cet enregistrement.

  • L'enregistrement de l'interview pour présenter mon dernier roman

    Voici l'interview que j'ai donné (à distance!) à l'occasion de la sortie de mon nouveau livre "Mathilde, une passion à Oléron" publié aux éditions Orizons :

     


  • Mon nouveau roman

    Je suis heureux d'annoncer la sortie en librairie de mon nouveau roman Mathilde, une passion à Oléron, que j'ai presque entièrement écrit pendant mes séjours sur l'ile d'Oléron. Vous pouvez commander ce livre dans n'importe quelle librairie ou bureau de presse, chez l'éditeur ou sur mon site Facebook ou directement à mon adresse au 234 route de l’Étoile, 87170 Isle ou par téléphone au 06 10 56 71 40. Je vous l'adresserai après vous l'avoir dédicacé, sans aucun frais de port. 

     

  • Prolifique ?

    Une de mes nièces à qui j’ai dédicacé mon nouveau roman Mathilde, une passion à Oléron, m’a fait remarquer combien j’étais prolifique.
    Certes, ma production a été abondante à partir de 2010 et surtout entre 2015 et 2019, mais mon dernier roman La Genèse ou l’amour fou, édité en novembre 2018, date donc déjà de presque deux ans. Et c’est aujourd’hui qu’elle trouve que je suis prolifique ? Je lui ai répondu que mon éditeur ne trouvait pas que j’étais un écrivain prolifique, puisque, à peine un roman est-il publié, qu’il me demande des nouvelles de mon prochain romain. Cela étant, pour me rassurer, je pourrais citer les noms d’une bonne dizaine d’écrivains, très connus, qui publient régulièrement un livre tous les ans. Et puis, surtout, comme j’avance en âge, et qu’indéniablement, je deviens un vieil homme, je suis bien conscient, qu’à présent, le temps m’est compté. Il me faut accélérer pour libérer toutes les idées qui fourmillent en moi. Tenter de rattraper le temps considérable consacré « aux autres » pendant de longues années. Des années perdues ? Non, pas de regret, chaque épisode de la vie apporte cette part de terreau qui contribue à l’enrichissement et à la maturation. Il n’est pas sûr que j’aurais pu écrire avant ce que j’ai produit aujourd’hui. Créer une œuvre ? Non, ce serait trop prétentieux, mais laisser quelques traces de mon passage, oui. Il y a un temps pour tout, dit l’Ecclésiale, fils de David, roi de Jérusalem, un temps pour se taire, et un temps pour parler.

    Et puisque je cite l’Ecclésiale, j’en profite pour ajouter cette phrase à l’intention des femmes que j’ai profondément aimées : il y a un temps pour embrasser, et un temps pour s’éloigner des embrassements.

  • Une piste pour comprendre Patrick Modiano.

    Voilà je crois une clé ( mais il y en surement bien d'autres) pour comprendre l’œuvre de Modiano: elle figure dans cette phrase : " Moi, je ne plaisantais pas. Si je m'étais engagé dans ce travail, c'est que je refusais que les gens et les choses disparaissent sans laisser de trace. Mais pouvons-nous jamais nous y résoudre? " ( extrait de son roman Chien de printemps, au tout début du livre.)
    Voilà un écrivain que j'ai longtemps boudé et qui aujourd'hui commence à me fasciner, avec lequel je me découvre une certaine parenté. Ces maniaqueries, ces incessantes introspections, ce besoin obsessionnel, viscéral de découvrir la vie d'autrui, n'est-ce pas ce que j'ai toujours vécu et essayer ensuite de traduire dans mes romans?