Sur les quelques 600.000 personnes décédées en moyenne tous les ans:
Il a été recensé 150.000 à la suite de différents types de cancer.
140.000 à la suite de maladies cardio-vasculaires.
8000 de la grippe, mais le double soit 16.000 à la suite de bronchites.
16.000 morts dus à des accidents domestiques.
13.000 suite à des suicides.
2000 par accidents de la route. Notons que ce chiffre variait entre 3000 et 3500 avant 2018. Il avait atteint presque 4000 en 2010 et dépassait les 8000 en 2000 !
1300 à la suite d'accidents du travail.
Et n'oublions pas les 100 à 200 victimes de violences conjugales en moyenne tous les ans.
Les âges : du nouveau-né au centenaire, on meurt à tous âges, mais en moyenne 17.000 avaient entre 25 et 44 ans. 87.000 entre 45 et 64 ans. 237.000 entre 65 et 84 ans et 195.000 avaient plus de 85 ans.
Et après avoir lu cette note, n'allez pas croire que je suis parcouru et envahi par des idées noires mortifères. Nenni, à mon âge auguste, j'éprouve encore une grande joie de vivre que je m'efforce de partager avec mes proches, ceux qui, toutefois, ne se sont pas éloignés de moi, depuis que je ne peux plus leur apporter autant qu'avant.
Alors, me direz-vous, pourquoi cette comptabilité macabre, cette avalanche de chiffres sinistres? La réponse est dans mes romans, ( notamment la Belle Peul et le comptable, et dans celui qui va sortir dans quelques jours) mais aussi dans mes essais, et notamment La France en partage.)...Un simple besoin de curiosité.